Citation:on pourrait peut-être le faire avec un peu plus de respect, en demandant tout simplement l'autorisation
:? Complétement d'accord avec ce bon usage civiques, sauf que les remontées de gens qui l'ont fait indiquent qu'ils se sont vus refuser l'accès dans 80% des cas, quand bien même ils ont eu droit à une réponse à leur courrier.
Éviter la période d'estive (et les patous qui de l'aveu de certains bergers sont moins dissuasifs du fait que les loups commencent à opérer en meute) me semble être une solution médiane.
La Drôme est vaste certes, mais ce phénomène d'interdiction (pour ne pas dire de radicalisation) s'étend.
Effectivement la question de l'économie (et de la survie) des habitants de ces zones montagneuses se pose, mais est-elle bien posée ?
Les positions et attitudes extrémistes d'un coté comme de l'autre n'amènent rien, si ce n'est des malentendus, sinon des conflits. L'histoire est là pour nous le démontrer. :cry:
L'interdiction de passage en zone de montagne est discutable, une servitude peut souvent être invoquée.le texte définit des servitudes assez précises ( enclaves, passages d'utilité publique, domaines skiables, rivages ) mais il me semble que pour le randonneur il évoque plutôt le principe d'une tolérance de circuler en terrain privé:
Intéressant ce lien.:wink: Cela rejoint la situation et le comportement à adopter sur le terrain. Dans le cas qui nous intéresse : * La limite de propriété n'est pas matérialisée (pas de clôture ou autres). * On ne fait que passer sans apporter de dégradation. D'autre part la crête qui est empruntée se trouve à environ 2 kms de l'habitation. * Les panneaux d'interdiction hors de la propriété (dont l'un sur un chemin supposé comme communal) sont donc abusifs. * Les références faites au N° de randonnées du conseil général sont elles aussi erronées (abusives) dans la mesure ou le CG ne balise, ni n'entretient plus ces itinéraires. J'ai lancé ce fil car beaucoup de randonneurs hésitent à aller là -haut, ceux qui ont eu affaire à cette personne en gardant un souvenir désagréable (pas sympa du tout). Je finirai en recommandant simplement de ne pas y aller en période d'estive, les bergers et éleveurs dromois n'étant pas (en ce moment) particulièrement favorables aux randonneurs. Dommage pour les touristes ! Sinon ne pas hésiter, car c'est une belle montagne ! Merci beaucoup de ta réponse.
L'interdiction de passage en zone de montagne est discutable, une servitude peut souvent être invoquée. Voir l'article L 342-20 du Code du tourisme: http://carrefourlocal.senat.fr/vie_locale/cas_pratiques/servitudes_de_passage_pesant_/index.html
La montagne d'Angèle est interdite aux randonneurs. Pour y aller il est nécessaire de demander une autorisation par courrier au propriétaire (voir l'adresse sur les photos du topo). Il convient de relativiser : 1) Ce monsieur n'est pas propriétaire du terrain par lequel passe l'itinéraire du col Lescou (face nord-ouest) jusqu'au pylône précèdent le sommet. La pancarte se trouvant donc au départ de l'itinéraire au col Lescou est limite abusive (commune de Gumiane) 2) Il est par contre propriétaire de la crête entre le Merlu (1606m) et le Rocher d'Esqueyron ainsi que de toute la face SUD de la montagne (commune de Chaudebonne), mais rien n'est matérialisé par rapport aux limites de cette propriété. 3) En évitant les périodes d'estive des ovins, la crête est tranquille (et praticable) car masquée des habitations et bergeries se trouvant sur la face sud. Il faut aussi comprendre que cette personne s'est retrouvée mise en procès par un randonneur (qui était avec son chien) qui a été blessé par un chien de berger. Ceci explique cela ...