Je remonte sur l’un des nombreux éperons qui constituent la partie centrale du versant des Crances (en partant de la gauche, il s’agit ici du 6ème éperon !).
Monter sur l’herbe est vraiment agréable.
Vers le haut, dans l’exact prolongement de l’éperon, se devinent tout à peine, les pentes herbeuses des Charances de Vallon Pierra. L’effet de perspective est trompeur, et l’on ne voit pas la longueur de ces pentes supérieures. Entre elles et ici, il y a les deux dernières barrières rocheuses à franchir.