Vue vers la col de la Noire, et le pic de Farnéiréra. Au fond à gauche, la Font Sancte.
Encore de beaux points de vue sur le sentier retrouvé du tour de l'Obiou.
C'est le début de la traversée dans la partie supérieure des charances. Sentier commode, environnement géant : c'est le miracle du Dévoluy.
Quand on voit ça, on se dit : c'est pas possible, ça passe pas !
Et pourtant, c'est plutôt plus facile qu'avant !
C'est ça le Dévoluy !
Retour en arrière sur le sentier, toujours bien visible et régulièrement tracé dans les pentes de la Séia. Au fond, le Grand Ferrand.
Photo prise au début de la grande traversée : on voit bien le sentier sur les pentes herbeuses, et, dans l'ombre, les quelques passages pour y accéder.
Voir la vue d'ensemble www.bivouak.net/album_photos/photos.php?id=7367&id_sport=2.
Cette photo a été prise du haut du couloir. J'ai figuré les pitons que j"y ai trouvés : 1 dans la petite cheminée, 2 au milieu de la traversée avec un vieil anneau de corde, et enfin 1 autre dans la deuxième partie de la cheminée, mais je n'ai pas voulu y aller, car je ne savais pas si ça passait au-dessus.
J'ai figuré également en pointillé rouge une variante possible, plus directe, dans la dalle sous la traversée. J'ai d'abord essayé de monter par là, et je suis resté un bon moment en plein dedans, mais je n'ai pas osé continuer, car je ne savais pas si j'aurais pu redescendre ce passage. C'est une dalle compacte, en bon rocher, et ça doit être un joli passage fin.
L'accès aux gradins supérieurs se fait par deux petits passages faciles, mais ce sont paradoxalement ceux qui posent le plus de problème à la descente (la traversée dans l'autre sens n'est pas plus difficile, et la désescalade de la cheminée n'est pas un problème) : en revanche, pour les deux pas, il faut bien repérer à la montée où ils se trouvent (d'en haut, tout se ressemble) et la désescalade ellê-même n'est pas très sécurisée, l'assurance se faisant sur des gradins caillouteux ; heureusement, c'est facile.
Cette vue de l'ensemble de l'itinéraire est complétée par un www.bivouak.net/album_photos/photos.php?id=7368&id_sport=2 sur la section d'escalade.
J'ai repris le croquis de Pascal Sombardier :
[url]http://www.bivouak.net/album_photos/photos.php?id=7334&id_sport=2[/url]
en rajoutant (en pointillés orange) la sortie directe au sommet.
Par effet de perspective, cette arête, d'orientation SW se confond avec l'arête SE de descente.
Vu de l'arête menant au sommet, l'arête SE, le pas l'Agneau et la tête des Ormans. Au fond à gauche, la forteresse du plateau de Bure.
La première grande diagonale, très commode, essentiellement herbeuse, est invisible sur la photo.
Au dessus, c'est nettement plus facile que ça en a l'air, tout en étant assez raide par endroits. L'exposition est quasi nulle, exceptée la petite traversée à gauche à mi-pente qui rejoint le deuxième pylône, qui demande un peu d'attention.
Arrivée sous la paroi NW de la tête de Garnesier, l'ambiance devient sévère, mais le sentier est commode.
Les derniers mètres avant d'arriver au col. Au fond, la longue crête du Vallon qui relie le Haut Bouffet au Chauvet, dont le parcours est décrit ici :.
[url]http://www.bivouak.net/topos/course.php?id_course=2447&id_sport=2[/url]
Virage dans la partie supérieure du sentier. Comme on voit, celui-ci est bien tracé, mais comme dit Raymond Devos, faut pas faire un faux-pas. .:D