Sortie : sortie vesperale

la crête à 19h 15

Données de la sortie

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  • Date :
  • Durée :
  • Dénivelé :
  • 04-05-2019
  • 4h
  • 1100 m

Données de l'itinéraire

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  • Cotation :
  • Topo :

l'originalité de cette sortie réside dans sa réalisation tardive dans la journée , mais aussi à un incident surprenant...

Parti de clot bouffier vers 16h30 ( sans crampons ni raquettes) , j'espèrais aller le plus loin possible  , sans certitude aucune  sur la destination finale ; arrivé sans problème à la bifurcation avec le sentier de la cabane du Casset , l'ubac étant  encore encombré de pas mal de neige , je me suis rendu compte que l'accès au lac brun me serait quasi-impossible ; aussi ai-je décidé de descendre le début du sentier de cette cabane  , encore encombré de neige , pour traverser le torrent et remonter direct en adret jusqu'à la cabane de Reyssas , où je ferais mon choix ultérieur ; arrivé là , et vu l'heure tardive , il m'aurait fallu redescendre le chemin habituel de cette cabane pour rattraper  le promontoire herbeux en face ( c'était perdre du temps et risquer de "marner" dans la neige sur le plateau en face ) en direction du lac brun .J'ai donc décidé un " retour à vallon-pion" et je n'ai pas été déçu : la neige  était parfaite pour continuer en simples chaussures et suis arrivé à la crête vers 19h 10 ; le temps de prendre qqs photos puis redescendre vite pour ne pas prendre froid...

Mais quelle fut ma surprise quand j'aperçus sur la crête sommitale  du pic de pied-brun , en face , durant la fin de descente dans la neige , un autre fou qui  bougeait peu , ressemblant  à un "bonhomme Michelin" , tant il semblait sur-emballé de vêtements ; un peu plus tard , il semblait monter une tente arrondie , telle un croissant de lune posé  dans la neige ; entre-temps , j'ai quand même averti le 112 , car ça me paraissait scabreux de bivouaquer sur cette crête , à près de 2700 m , avec des prévisions météo peu glorieuses  en températures et en vent ; ce coin était bien enneigé sur toutes ces faces et accés tous pentus...mon contact avec le 112 m'a pris plus d'une demi-heure , et j'ai repris ma descente pour arriver à ma voiture aux dernières lueurs du crépuscule.

Ai vu à la montée un troupeau de chamois puis un troupeau de  chevreuil , dont un avec de jolis bois ramifiés..Je suis étonné de voir , ces temps -ci , des chevreuils à aussi haute altitude ; car j'ai déja fait ce constat lors de randos récentes

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vallon des Gourniers- un peu après le départ de Clos Bouffier
vallée  de Réallon et des Gourniers depuis le sentier de clos Bouffier à  clos l'Herbous
l'ubac encore encombré de neige
ubac-adret , dans l'accès direct à la cabane de Reyssas
l'ubac en face lors de la montée à la cabane
crête de la Pointe de Serre
ubac de Reyssas et Lac serre-ponçon
vallon de la Baume
cabane de Reyssas
vallon de la baume et mont guillaume depuis la cabane
ubac et serre-ponçon
vallon de la baume et cabane
pic de pied-brun , l'autre randonneur ( à skis ?) était sur la partie D de la crête sommitale
direction lac-brun  , ss chant-perdrix et mont guillaume
à la fin des herbages à la montée ; la cabane de Reyssas est en contrebas
vers col de Reyssas et pic de pied-brun
vers le lac brun, à la montée
pic de pied-brun à G , tête de chante-perdrix à D
vers le Mourre-froid
depuis la crête , au dessus du vallon du Tissap , direction lac Distroit au fond
depuis la crête ,vers soleil-boeuf et hivernet
vers le pic de pied-brun ; le randonneur se trouvait à D de cette crête sommitale , lors de ma descente
depuis la crête , vers serre-ponçon
lors de la descente : cabane de Reyssas et mont-guillaume
ce G à D : col de reyssas et pic de pied-brun , à la descente
pic de pied-brun à G : le randonneur était sur la partie D de cette crête lors de ma descente et semblait décidé à y rester

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