Carrières de Couzon depuis Poleymieux

Données de la sortie

  • Date :
  • Durée :
  • Dénivelé :
  • Distance :
  • 13-01-2013
  • 2
  • 400 m
  • 5 km

Données de l'itinéraire

  • Massif :
  • Cotation :
  • Topo :
par ced

J'avais tout de même quelques heures dispos par ci par là ce week-end et donc comme ça faisait longtemps, j'en ai profité pour visiter à nouveau quelques sites de carrières, dans une combe où je n'étais pas allé jusque là.
Départ de Poleymieux (je sais ce n'est pas très logique pour aller dans les combes de Couzon mais quand c'est possible, j'aime bien reprendre les voies de passage des anciens et avant la voiture, le plus logique était sans doute de monter à la Croix Vitaize pour redescendre ensuite sur Couzon).
Le sol est bien détrempé mais moins que je ne le craignais finalement, la descente dans la combe est sans histoires. La carte IGN mentionnait un chemin partant du bas et se perdant dans les pentes ; en fait en venant du haut je ne tarde pas à trouver une sente qui redescend vers lui à travers bois.
Comme souvent, une fois la zone des roches de l'aalénien (pierre dorée) atteinte, la zone devient très travaillée avec des murets de pierres et des ouvrages un peu partout. Je suis d'abord le sentier jusqu'à retomber sur la route. Un gros regret : d'un côté les fronts de taille sont ici vraiment les plus impressionnants, hauts et quelques blocs énormes se sont effondrés. Mais le bas de la combe est fermé : à gauche un champ de tir, et à droite une bonne vieille décharge ancienne je pense... Ca gâche vraiment ce site qui pourrait être exceptionnel par son ampleur.
Je remonte en insistant dans les diverses sentes qui se faufilent partout ; les accès ne sont pas évidents mais je débouche enfin sur un front de taille. Dans un creux plus bas se dessine l'entrée d'un tunnel, il est partiellement effondré mais on peut passer, pas en sortir en revanche car la sortie est quasi complètement obstruée comme souvent.
Je continue à monter et tombe sur un autre tunnel, plus court. Cette fois la sortie est possible en rampant un tout petit peu.
Il fait maintenant presque nuit (et oui c'est l'hiver), je remonte le vieux sentier des carriers bien encombré de végétation et je regagne mon point de départ.



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